Coaching

L’importance de créer un curriculum vitae clair et actuel, de rédiger une lettre de motivation qui laisse apparaître son intérêt et ses compétences et de présenter des certificats de formation et de travail dans une logique de lecture simple et rapide.

• Faire mon CV, oui mais il faut tout mettre et ne rien oublier même s’il fait deux ou trois pages.
• À partir d’un certain âge, il ne faut pas mettre sa date de naissance. 
• Moi, mon CV est sans photo parce que je ne suis pas photogénique, voilà…
• Écrire une lettre, c’est ringard ! Copier et coller depuis des modèles d’Internet, ça suffit. 
• Un dossier de candidature ? C’est un e-mail avec deux mots et mes coordonnées ; une enveloppe avec mon CV. Je veux juste travailler.
• Trouver du travail, c’est surtout réseaux, réseaux et réseaux, non ?

Savoir valoriser ses compétences professionnelles, oser en parler, vouloir les démontrer sont les différentes étapes des démarches de la personne au bénéfice de l’assurance chômage. Comprendre l’importance d’être au clair avec ses compétences professionnelles pour en assumer la démonstration gagnante lorsqu’un contrat de travail met un terme à la recherche. Agir en conscience pour réussir !

Les communications verbale et non verbale dévoilent chacun dans sa relation à l’Autre et au Monde. Comprendre que sa façon de communiquer agit sur le résultat final de l’échange de propos. Une communication efficace augmente le bien-être, permet d’identifier les émotions présentes durant la discussion et clarifie les besoins et les demandes.

• Communiquer, ça peut s’apprendre ! Ah oui ?
• On ne peut pas ne pas communiquer !
• Parfois, je dis des choses et personne ne m’écoute ! Alors autant se taire !
• C’est fou ce que le silence peut faire comme bruit !
• Communiquer, on a les moyens de le faire mais pourquoi y a-t-il tant d’incompréhension ?

Parler et partager ce que l’on ressent, pense, imagine, souhaite dans un langage adapté à la compréhension de l’Autre : c’est l’enjeu de notre société. Ne sont compris que ceux qui osent se faire entendre. Donc parler comporte des risques qu’il serait temps de découvrir pour entrevoir des échanges porteurs de sens, de considération et de reconnaissance.

Lorsque le conflit remplit une fonction sociale par la rupture du lien et devient le liant par ce désaccord.

• On ne peut plus rien dire, tout est monté en épingle. Même les responsables se taisent. 
• L’équipe était dynamique avant…
• Motiver pourquoi ? Personne n’écoute personne et c’est médisance à tous les étages. 
• J’ai un conflit avec mon collègue : enfin, il n’en fait qu’à sa guise et moi, je récupère les commentaires mauvais de ma hiérarchie : je suis à bout.
• Quand je propose une nouvelle idée, systématiquement on banalise et je comprends qu’on n’en veut pas. J’en veux à mon chef et depuis quelque temps, ma colère est telle que je suis en arrêt maladie.

Quand la parole ne permet plus de s’entendre au sein d’une équipe, que le temps passé au travail se rejoue chez soi, dans sa tête dans une coloration émotionnelle lourde et que l’entier de sa vie prend cette teinte, il est peut-être nécessaire de demander une aide extérieure pour comprendre ce qui se passe dans les relations au sein de son entreprise. Une médiation, c’est déposer un vécu chargé d’incompréhension, en individuel, avec la médicatrice. Puis, il est possible de mettre en présence les personnes avec la médiatrice. Souvent, l’échange en individuel donne suffisamment de marge de manœuvre et la rencontre à trois n’est plus nécessaire. Se faire entendre pour trouver les pistes de résolution du conflit.

« Lorsque les travailleurs se heurtent aux limites de leurs capacités ou que la cohabitation sociale est difficile, (…), cela a un impact sur la prestation de travail et le comportement. La santé des travailleurs est en jeu. » (Brochure SECO Protection contre les risques psychosociaux au travail 2015, page 25)

• Je me sens épuisé avant même de partir le matin pour mon travail.
• Depuis plusieurs semaines, ma collègue ne vient plus en pause et semble comme absente…
• Il y a des oublis incompréhensibles, des manquements inexplicables et une baisse de la motivation dans l’ensemble du service.

Il est important d’évaluer certains paramètres propres à l’entreprise comme l’intensité du travail, la marge de manœuvre donnée aux travailleurs, à l’équipe, etc. Les travailleurs doivent savoir à qui s’adresser en toute confiance pour obtenir de l’aide s’ils rencontrent ces difficultés. La santé au travail en est l’enjeu.

L’identité d’un groupe se construit à partir de valeurs et d’objectifs communs. Le sens de l’action et la reconnaissance sont les piliers de la motivation et de l’envie de créer et d’innover. Réfléchir ensemble, partager ses aspirations et évoluer dans un cadre bienveillant et sécurisant, c’est une des clefs de l’identification du collaborateur à l’entreprise.

• La technologie avance et je me sens à la traîne. Comment rester efficace et concurrentiel dans ce contexte ?
• J’aimerais apprendre à utiliser certains outils de communication comme l’authenticité avec mes collègues. Est-ce que ça peut modifier la qualité de nos relations ?
• Il y a des tensions et des non-dits qui sont pesants dans notre équipe. Et si nous en parlions en présence d’une personne neutre capable de nous écouter et de nous permettre de trouver les solutions ?

Dynamiser une équipe en déterminant des thèmes de formation, des séquences de partage en donnant la parole et en renforçant les échanges contribue à donner du sens aux tâches et la reconnaissance aux personnes.

Attitude citoyenne et compréhension du rôle de la sécurité sociale de notre pays. Les assurances sociales sont garantes de la paix sociale. Elles apportent un revenu transitoire en lien avec des situations de vie particulières. Comprendre le principe de solidarité des assurances sociales et les démarches à faire pour obtenir soutien et aide : ces mécanismes permettent à chacun d’être actif dans ses demandes et dans ses obligations de bénéficiaire.

• Je suis au chômage et je ne touche plus les allocations familiales, pour quelles raisons ? 
• Je suis étudiant, j’ai 22 ans et je n’ai pas de revenu mais je dois cotiser à l’AVS ?
• Je travaille quelques heures par semaine et mon patron retient sur ma feuille de salaire une cotisation pour l’assurance accident, est-ce juste ?
• Je paye ma prime d’assurance maladie et mon assureur me propose une assurance complémentaire pour des frais d’hospitalisation dans toute la Suisse, est-ce que ma prime couvre déjà ces frais-là ?
• Cotiser pour un 2^e pilier, non je ne le veux pas ! J’ai le droit, non ?
• Les assurances sociales sont utiles pour les gens qui dépendent du service social, non ? 

Être capable de demander de l’aide aux bonnes personnes pour obtenir des réponses adéquates à sa propre situation, voilà l’ambition de cette prestation.

Dérouler le fil de sa propre histoire de vie, la mettre aux couleurs de l’imaginaire, en se référant aux contes existants. La personne se réapproprie la trame de son histoire pour y puiser ses forces et ses atouts, pour renouer avec son potentiel.

• Les contes captivent les enfants. Les adultes sont de grands enfants et les contes peuvent aussi les émerveiller.
• Raconter une histoire, c’est toute une histoire !
• Mettre le fantastique dans mon histoire de vie, c’est oser des habits de roi et de princesse, se battre contre des êtres immondes et découvrir au détour d’un chemin la justesse de mes choix et la richesse de mon expérience. La transmission prend alors toute sa résonance !

Raconter son histoire en étant le narrateur d’une épopée permet de prendre une certaine distance émotionnelle pour entrer pleinement dans les enjeux relationnels qui ont façonné sa présence au Monde. Créer et raconter, c’est s’approprier son vécu et reconnaître la trame de sa propre histoire.